lundi 31 décembre 2007

Carton.

Elle ouvre le carton. Il sent la poussière... Rempli à ras-bord de souvenirs. Entassés durant près d'un an et demi... Le range-t-elle, ou le continue-t-elle? Elle se saisit de feuillets... Les parcourt. des aquarelles, des crayonnés. Ils lui semblent si loin d'elle à présent... Ce sont des souvenirs, rien de plus. Ils ont une forme matérielle, lui donnent un bref sourire. Celle-là, je l'ai dessiné en 2007, durant le voyage en Normandie... Oh, tiens, un bout de roman.

Au fond du carton, elle découvre un pot de confiture, Bonne-Maman, au couvercle rouge, vichy. Vide.

C'est désormais ce pot que je remplirai...

Ce pot est mon nouvel entassoir pèle-Mel.

mercredi 7 novembre 2007

Encore un clip nul, mais que j'aime <3

Je suis... irrécupérable. dans une relative mesure...
Mais bon, Nana Kitade, c'est Nana Kitade XD
:)

Lum no love song - Nana Kitade



La version originalee... (je l'aime moins =^^= )

lundi 5 novembre 2007

Ouff... x_x
Je refais mon design, il faut que je réussise à refaire les couleurs et tout ça... cépadlatart.
Fait maison, ouiouiiii !
Brefle, comme dirait chaipuqui.
Faut que je réactualise mes liens, ça fait au moins cinq mille ans que le blog de Marie a changé d'adresse xD
En attendant, une zolie musique... Pour vous tenir au chaud en attendant des nouveaux dessins ou nouveaux clips. C'est décidé, cette fois-ci, je tiendrai mo,n blog à jour. Au moins 2 fois par semaine! ^^





Hrrrrm. Hrrr, rrrrrm. hrrrm.

Je vais essayer de démortifier ce blog... Refaire le disaigne, maintenant, j'ai une idée chouette... Et mettre plus d'artciles.
j'ai pas trop de dessins à poster, mais je mets une vidéo qui m'a bien fait tripper (Oui, c'est moche comme mot, mais c'est ça).
J'écris souvent <3,>
Bref... Musique pourrie, mais :'D

vendredi 19 octobre 2007




Latoubilouloulitabaliloupopoliiilipopoulilou...


Talalipoulipouloutilalalilouuu...










Comment ça, ça veut rien dire?


Mais si mais si!


C'est du grec!






Ben oui, ma prof de grec chante tout le temps ça


(Bon, d'accord oqué, je sors, hein...)


*rerentre*




Quoi de neuf depuis le début? Je n'arrête pas de sauter des lignes, au fait, ça vous dérange pas? Et du coq à l'âne non plus?

Je vous raconte mes malheurs depuis le début de l'année?
Bref, faisant la superblimirificablement géniale option musique, quatre heures par semaines, s'il vous plaît, dont une heure de chorale, avec un nuage de lait et sans sucre, merci, j'apporte mes flûtes (dont une en bois ayant appartenu à ma prof-concertiste-de-renom-géniale, donc une flûte en bois plus que chplaf, pour le coup j'en tombe sur les fesses que je n'ai pas si grosses, n'étant pas callypige, j'ai réussi à caser ce mot, hourra!) le lundi 1er octobre. Et me les fais chourav'. Trop génial. Maintenant, elles ont fini quelque part où personne ne le sait (oulah, est-ce très français, madame?). on connaît qui l'a fait mais ça ne les remplace pas.


Merde!
Caca!




Ne vive pas la France, vu notre président.


Offaite...
J'ai décidé d'être rebelle.

Ainsi, maintenant, mes bagues toutes nouvelles et qui m'arrachent les dents de la mort qui tue sa mère ziva ouaiche, et mes lunettes sont respectivement...
Oranges et rouges et jaunes.
Vous ne me croyez pas?

Allez donc voir --là--


Et comme j'emmerde le monde, je mets des salopettes sans vergogne. Na.


Bon, la photo, c'est juste pour mon ego. Photo prise par Jeannounette ^^

dimanche 9 septembre 2007

Encore un dessin, tiens...

Bah, tant que j'y suis... Je ponds un dernier article^^

Un autre dessin, donc. Inspiré de l'univers des clips de Nana Kitade, dont les deux que voilà en particulier.

Kiss:
Alice:

Un dessin... (encore)




Encore un dessin. Inédit cette fois. Réalisé pendaznt une récré quand j'étais encore au collège... J'aime bien la façon dont j'ai utilisé les trames sur la robe.


Pour l'info, c'est l'ennemie de Kaya. Elle emprisonne les esprits de démons dans des perles dont elle se sert pour raplaplatiser ses ennemis.


Une missante à éviter, donc. Mais j'essaye de ne pas faire de mon histoire un stérotype manichéen.

Arrgh, oups TT_TT


ça fait méga-longtemps que je n'ai pas écrit ici. plus d'un mois... Vous vous doutez bien, chers lecteurs pas plus nombreux qu'une (vu le nombre de commentaires que je reçois TT_TT) que je ne suis pas retrée aujourd'hui... mais il y a bien trois semaines. j'ai posté sur mon squailleblogue (ouvert par charité pour Jeanne-Jeanne et Marianne-anne. (âne! xD))


Pourquoi les crevettes en ont marre?

Parce que cru c't'assez!


Que fait Gaara quand il a du temps libre?

Des pâtés de sable!


Que fait Mélina quand elle est sur l'ordi?

Elle se dit qu'elle ferait bien de mettre à jour son bloblog.Elle y pense mais ne le fait pas en fifille indigne. Conclusion: TT_TT


D'ailleurs, j'y pense, je crois que je vais changer mon disaigne d'ici peu. Marie, ça te froisse si je copie un tit peu sur un truc que tu as déjà fait? (j'ai aussi une idée pas copiée, mais le truc c'est qu'il faudrait que put*biiip* de bord*biiip* de m*biiip* j'arrive à trouver comment on fait un fond translucide pour les messages... ) (pas transparent, mais pas opaque non plus).

Citation de Lockie Leonard:

Rhhhhhhhhhhhhââââââââââââââhhhh !!!!!


Sinon, j'ai découvert les chanteuses KT Tunstall, Nana Kitade et le duo DobaCaracol. Tout est chouette (moins Nana Kitade).

je suis rentrée en seconde dans mon lycée plein de bourges /pouffes /minets mais après tout, ne nous attardons pas sur les apparences (on y croit, on y croit! -__-° ) et essayons de fazire avec...


Après tout, il y a aussi des filles sympas^^.


J'ai hâte de reprendre la harpe! Mais une nouvelle vient assombrir mon ciel.


><


Le concours de l'Ufam en harpe n'existe plus.

faute de subventions.

Je hais le président.


Du coup, avec ma môman, on a cherché d'autres concours sur le site de l' AIHarpe. on n'a trouve qu'un concours très potentiellement à ma portée: le prix Junior Lily Laskine. Si je décide de le tenter, il faut que je commence à travailler maintenant, et très sérieusement. J'ai un an pour m'améliorer. Bien sûr, je crois que je n'ai aucune chance de gagner le premier prix, mais comme dirait Marielle Nordmann, ce n'est pas le but qui compte. Alléluia.


J'ai eu des pastels Faber Castell (:gaaah ). Et j'ai décuvert ce matin même le plaisir du pastel sur kraft. J'adooore!


Avec mes chèques disques, je me suis acheté deux CD d'Emilie Simon. (: re gaaah ) et le DVD de Nausicaä de la Vallée du vent. ils ont pas mal atrophié le manga, mais il est génial quand même!


Voilà les quelques nouvelles de ma tite vie, agrémentées d'un dessin réalisé pour ce forum supergénial qui mangue de membres. Un RPG sur le Londres du XIXè siècle. Alààà!

lundi 30 juillet 2007

Vacances!!

Juste un petit mot, les gens, pour vous dire que je pars en vacances demain! Je vais du côté de Vannes, en Bretagne mon amouuuur, puis à Fribourg, en Allemagne...
Les habiles de leurs yeux (et même les pas habiles, c'est quand même superflagrant) auront remarqué que j'ai changé le design du blog...grâce à la géniale Siah/Nina, dont le blog est en lien et vous CLIQUEZ dessus parce que non seulement elle dessine bien, mais elle est super drôle.
Ya aussi celui de cette bourrine de Marianne (range cette enclume, tu vas blesser quelqu'un, voyons... Mais oui, je t'aime aussi ma chérie xD) génie du manga s'il en est.
Walàààà... et....
Hasta luego!

dimanche 22 juillet 2007

Jamais deux sans trois...

(en passant, une blague pourrie d'ulysse, un type de ma classe de cette année dont les blagues sont presque aussi consternantes que les miennes. "ça fait combien 200+3? -euuuh... 203? -Naaaan! Parce que jamais deux cent trois -deux sans trois...)

Voui voui, je me surpasse: c'est mon troisième article aujourd'hui. Faut bien peupler mon blogounet, quoi!
Un ptit dessin... ou plutôt deux. A chaque fois, la fille c'est le même personnage ;)


Cette charmante demoiselle se nomme... Kaya^^ Nom trouvé par Marianne puisque le dessin fut réalisé lors du voyage en Normandie.



Et le monchieur, il ch'appelle Mari (et c'est pas une fille, meeerde!^)

HP 5... Navet avec quelques bons igrédients quand même!!

Je suis allée voir Harry Potter 5 il y a une semaine... Conclusion? C'était un navet. Un vrai, un pur, un dur. Je vais dresser une liste (non complète) de tout ce qui a été omis ou remplacé:
-La totalité de la prophétie n'est pas dite
-Hermione et Ron ne sont pas préfets (en tout cas, ce n'est pas mis dans le film)
-On oublie tous les passsages avec Kreattur
-C'est Cho qui dénonce l'AD (sous l'emprise du veritaserum)
-Surtout, le passage où ils sont dans le département des mystères, au ministère, est amputé de sa majeure partie, celle où ils sont dans la salle aux portes. Ils se retrouvent directement dans la salle des prophéties!
-Sirius meurt tué, bien par Bellatrix Lestrange, mais par un Avada Kedavra!
-Rien pour la rivalité entre Harry et Malefoy: leurs accrochages sont inexistants dans le film
-La longue discution entre Dumbledore et Harry est réduite à dix secondes top chrono
-Et bien d'autres....


Bref, le film est plein d'ellipses malvenues. A mon avis, il est incompréhensible si l'on n'a pas lu le livre, et me paraît un peu incohérent avec la suite de l'histoire.

Mais, il faut l'avouer, ce légume cinématographique présente quelques points positifs:

-Ombrage qui est tout ce qu'il faut d'insupportable
-Bellatrix Lestrange, campée par Helena Boham Carter, est excellente en gothic lolita psychopathe complètement timbrée et hystérique

-Et LA révélation, c'est Evanna Lynch en Luna Lovegood... FORMIDABLE!!! Je crois que je suis fan de cette actrice. Elle joue nettement mieux que Radcliffe (toujours aussi réverbère attitude dans son jeu d'acteur) et a su restituer la douceur et le décalage du personnage parfaitement! De plus, elle ressmble assez exactement à ce que j'attendais...(D'ailleurs, d'après Emma Watson, elle ne joue pas Luna, elle EST Luna. Tout comme Dakota Blue Richards qui, paraît-il, EST Lyra) Bref... Vive Evanna!

Biiiien, biiien...


Oui, je sais, il ne faut pas avoir le flair de Lershock Helmos ni de Shin'ichi Duko pour savoir que ça fait cinq mille plombes que je ne suis pas venue, mais que voulez-vous... je suis paresseuse, moi! Pas comme cette chère Drôôm qui a le courage de poster une fois tous les deux jours en moyenne... ><>

-C'est les vacances

-Je suis au centre des jeuuunes cinéaaaastes

-J'ai un bouton sur la narine mais il est minuscule

-Je suis amoureuse (Quoi? Encore? Eh ben oui, je suis fleur bleue, moi...)

-J'ai une put*biiiiiip* d'otite

-J'ai un nouveau pantacourt que j'aiiiiimeuh d'une marque (oui! Une marque! Moi qui suis justement anti-marque! Mais c'est parce qu'il était réduit au moins de 80 % du prix et qu'il était très bien, hein. En plus on voit pas la marque)

-Eeeeeeet.... Attention mesdames et messieuuuuuuuuuuurs j'ai ceci (!!!!!!!):



Eh oui: Une harpe à pédaaaales!!!

jeudi 28 juin 2007

Ouuuuh!!!

Bouh. j'ai aps droit à 20 visites par semaine. tant pis. Et Amé, ne crains rien, je vais actualiser plus souvent. Le porblème, c'est que j'ai la flemme et plus trop de dessins à montrer... 'Faudra que j'en scanne.


mercredi 27 juin 2007

Deuxième!!

JE SUIS ARRIVEE DEUXIEME AU CONCOURS PAR MONTS ET PAR MOTS!!!!



Moi contente^^

Juste pour dire ça.

Puis juste aussi pour poster mon unique dessin en manga jamais réussi! Je vous présente Tenshi, huitième Rozen Maiden imaginée par moi-même... En style, Peach-Pit, s'il vous plaît!



PS: je rêve ou bien j'ai eu 20 visites depuis que j'ai mis mon compteur? Oo C'est formidable! Les gens, mettez-moi un commentaire pour dire que c'est bien vous qui venez!

dimanche 10 juin 2007

Youhouuu!!


Les "p'tits futés " comme dirait ma prof de maths, auront remarqué quelques modifs pour le blog... mais je n'ai pas réussi à mettre d'image en bannière, malheureusement... Bouh. Pas grave, je réessayerai. Blogger a buggé comme un fou qaund j'ai voulu voir un aperçu de mes modifs, ça m'a dissuadée de le faire... xD. En attendant, j'aimerais bien savoir (message destiné à Marie) comment diantre qu'on fait pour piquer des musiques sur radioblog. J'y arrive pas non plus (je vais finir par penser que je suis vraiment nulle en informatique T_T)

Sinon, dessin et texte envoyés tous deux à un concours! (pour une fois que je me décide à en faire xD)

Le thème: "De Bruges à Venise, si les canaux étaient des miroirs"

Le texte devait raconter la traversée de ces miroirs et la réalisation qui allait avec devait pouvoir se regarder des deux côtés...Alors un conseil: enregistrez l'image, et faites-la tourner!


Image:

































Mon texte:



Would you like my mask? Would you like my mirror?
Glauque. Et pourtant un semblant transparente. C’est la couleur de l’eau du canal au-dessus duquel mes jambes balancent. Je suis assise sur le rebord du trottoir. Donc au-dessus de l’eau. J’aimerais bien y voir une naïade. Une sirène. Des poissons. Un merlan. Un espadon… Mais ici, à Bruges, l’eau est trop immobile pour qu’un être vivant puisse y rester sans étouffer. Elle clapote doucement sous le souffle du vent… Les vieilles maisons se reflètent sur sa surface. Comme sur un miroir… le miroir de l’eau. Je peux me voir dans les sinuosités de sa surface, un peu déformée. Mes pieds touchent presque l’eau. Et si jamais je l’effleurais, serais-je aspirée par un maëlstrom d’eau fade ? Je me demande ce qu’il y a véritablement sous les lentilles aquatiques.
Plus loin, le canal s’étiole. Peut-on aller plus loin, par ces lignes d’eau, que les frontières de la ville ? Vers Venise, dont on dit qu’elle est la jumelle de Bruges ? Et si, en plongeant dans cette mare verdâtre, on se retrouvait dans cette ville, qui, paraît-il, est une merveille… Je ferme les yeux en m’imaginant sauter dans le miroir de l’eau.
Je traverse une surface lisse et froide… Dans mon rêve éveillé, j’ouvre les yeux.
Les dryades et nymphes d’eau s’ébattent autour de moi… Je glisse dans le canal, doucement portée par le courant. Lorsque je remonte à la surface, surprise… Venise me sourit, parmi ses masques d’or et d’argent. Je vois passer une foule chamarrée, tantôt vêtue comme les médecins de l’ancien temps, tantôt habillée de couleurs éclatantes, dont les loups aux plumes dorées scintillent. Je me hisse hors de l’eau, et je suis le rassemblement, sous une pluie de confettis multicolores. Toutes ces personnes, sous des dessous gais, sont-elles ce que le miroir de l’eau leur renvoie ? Le masque est le contraire du miroir. Il cache à la vue ce que le miroir insidieux montre. Ou déforme, comme sur l’eau. Montre-moi ton masque, je te dirai qui tu n’es pas… Je me surprends à contempler les reflets des masques dans l’eau. Un masque joyeux, orné de bandes rougeoyantes, se moire et se tord dans des reflets âcres, qui tournent les jaunes vifs en verts et bleus… Son sourire malicieux se gauchit en une bouche dure. Les plumes tombées des loups dans la mascarade deviennent sombres, comme arrachées à des oiseaux de malheur… mais un miroir dit-il la vérité ? On peut lui cacher ce que l’on voudrait faire échapper aux regards. Le miroir deviendrait alors masque. Il ne montrerait que l’extérieur…
Perdue dans mes contemplations, je remarque que j’ai laissé le carnaval s’échapper. Je suis seule…
Le soleil couchant se reflète dans l’eau.
Son éclat n’est pas terni par l’eau.
Sur le trottoir, je remarque une plume…je la prends dans ma main.
L’eau. Je la regarde à nouveau qui clapote calmement, dorée par le crépuscule… Miroir toujours. Je me vois… et je comprends qu’il faut repartir. A nouveau, je sombre à travers son éclat, presque semblable à celui d’un rubis chatoyant, dans l’assoupissement du jour.
Je me retrouve sur mon trottoir, à Bruges. Curieux voyage que celui que j’ai fait… ma ruelle est presque identique à celle de Venise… Et le même flamboiement resplendit dans le canal. Ai-je dormi ? Rêvé ? Ou réellement vécu ce voyage ? Seule une plume d’or, dans ma main, saura me répondre…
Villeneuve d’Ascq, juin 2007

samedi 26 mai 2007

Explorer Youtube

Encore un article de délire complet et d'humour déchirant-décapant à s'épatoustiflotter le popotin made in Daughter & Daughter's land!

Là, je voulais vous parler d'un de mes grands jeux: explorer Youtube.

En fait, le principe est ridiculement simple: vous tapez un mot-clé, vous choisissez une vidéo. A la fin des vidéos Youtubesque, il y a des liens vers d'autres vidéos. Alors, vous cliquez sur un des liens et vous visionnez la nouvelle vidéo. Voilà...La seule chose dont vous n'avez pas le droit, c'est revenir en arrière.

Cela fait exactement une heure et 47 minutes que je me consacre à ce jeu passionnant. Figurez-vous que je ne souviens même plus du mot clé que j'ai tapé...Toujours est-il que je viens de "dépasser" Fullmetal Alchemist en cliquant sur un lien à la fin d'une AMV vers la bande annonce de Grey's Anatomy. C'est une chic bande-annonce, d'un groupe qui vient d'un bled qui s'appelle Denver. Le groupe, c'est The Fray, la chanson c'est "How to save a life". J'ai découvert plein de vidéos Youtubesque en jouant à ce jeu intéressant:

-Un diaporama d'images de Yaoi-A vous qui savez rien, un Yaoi est un manga homosexuel limite porno- (que je n'ai pas regardé jusqu'au bout...Je suis assez dépravée mais pas à ce point-là, quand même! C'était juste pour voir ce que c'était) mettant en scène Roy Mustang et Edward (oui Mélina, oui!).

-Un clip nul. Ca s'appellait "Sébasto fait la poule" et c'était pathétique! Un type qui se dandine en sautillant dans un gros costume débile. J'ai pas regardé jusqu'au bout non plus, trop insoutenable...J'ai déjà le cerveau un peu écrasé, pas la peine de l'abîmer plus.

-Une pub pour un livret testamentaire québecois, je crois. Franchement ridicule aussi:

Un bonhomme en pull à carreaux, dans un restaurant friqué: Excusez-moi, Madame, n'êtes-vous pas en train de rédiger votre testament?

Une vieille dame qui referme le cahier noir posé sur le comptoir:En effet Monsieur. Je l'avais déjà fais mais les choses ont changé...

COUPE

J'ai coupé la fin, c'était trop con. Vous connaissez beaucoup de monde qui rédige son testament dans un restau? Moi, dans un restau, je mange. Mon testament, je l'ai jamais rédigé encore, parce que j'ai pas l'intention du tout de mourir avant 125 ans (pour battre Jeanne Calment). Donc, normalement, j'ai du temps.

Des choses comme ça. C'est dingue toutes les stupidités que les gens postent. Mais n'empêche que tout ça m'a, soit fait rigoler, soit consternée (les trois vidéos dont je vous ai parlé en sont un bon exemple) soit enchantée. Ah, faut qu'j'vous quitte, je viens de tomber sur une vidéo de Gnarls Barkleys. Avant de la regarder, je vais aller me chercher un jus de fruit quelconque, de préférence avec le moins de fruit possible bicause j'ai horreur de l'alimentation saine...^^
Ps: Si ça vous intéresse, j'ai un gros bouton de moustique sur la gambette. Aah, ça enfle!
C'ets bon, c'est bon, je pars, vous énervez pas, enfin! Ce genre d'article n'arrivera pas souvent, je vous jure! Vous allez être tranquilles...AAAARGH, non!
Ouille.

vendredi 25 mai 2007

Romaaaan! Pour les courageux...

Vous avez droit, dans mon immense clémence, à mon début de roman. Oui, d'accord, étant un trip héroïco-fantasyque, ce n'ets pas de la grande littérature, mais... L'intrigue ne sera pas manichéenne. Pas de méchants contre les gentils, juste le récit d'une quête d'identité...
Pour ceux qui ont déjà lu l'ancien début, vous verrez qu'Omnicittà s'est changée en Pantapolis (du grec panta: tout et polis: ville) et Temariah en Dikea (de dikê: la justice). Enwelenn ne devrait pas tarder à changer de nom, et l'histoire à commencer!


Voilà!
Enjoy^^

Fées



C’était la fin de la nuit. Bientôt, le jour ne tarderait pas à poindre et inonderait les remparts de Pantapolis de sa lumière chaude, qui irriguerait les canaux solaires de la ville. Les boulangers ouvriraient leurs baraques et l’odeur des brioches et des pains frais et chauds emplirait l’air encore chargé de la rosée du matin. Le ciel étirerait de larges bandes roses, jaunes, blanches, crayons pastels qui colorieraient le ciel, puis s’effaceraient pour laisser le ciel limpide du printemps qui s’annonçait, peu à peu, au fil du temps. Puis la ville s’éveillerait sous les exhortations des commerçants commençant leur journée, des charretiers sur leur charrette brinquebalant sur les pavés, qui jureraient tout autant que dans leur réputation, et au cris des bébés qui pleureraient.
Mais cette ville-là dormait. Les lourdes portes en chêne et fer massif, encore fermées, empêchaient pour l’instant tout voyageur de pénétrer dans la capitale du Zulma. Et les remparts de pierre ocre étaient si hauts qu’on ne pouvait pénétrer dans la ville que par les airs.
Au pied de l’immense muraille et des pesantes portes de la ville, une nymphe d’eau, assise à côté d’un berceau, perdait toute l’eau qui lui tenait lieu de sang. Très faible, elle caressait un visage de nourrisson qui pointait au milieu d’un amas de tissu dans le panier, murmurant une berceuse de sa voix claire. Elle était manifestement très mal en point, à en croire une coupure sur son flanc frêle. Curieux phénomène, la silhouette de l’entité aqueuse était éclairée d’une lumière qui n’était pas celle de la lune évanescente, mais qui semblait venir du cœur de la créature elle-même, comme si la vie qui la quittait peu à peu rayonnait.
Un rayon pointa derrière la chaîne de montagnes qui s’offrait à la vue, face à Pantapolis. Tel un pinceau d’or, il s’insinua un peu partout, peignit une touche claire sur la muraille, fit tinter un reflet sur la porte de fer, pour être suivi par des milliers de rayons dorés qui semblaient la chevelure de l’astre solaire. En cet instant, calme, si pur et lumineux, tout semblait en harmonie légère. Le rayon fluctua dans les veines de la nymphe. Un frisson la parcourut, puis elle soupira de soulagement. Tout son être vibra de la lumière renaissante, puis, tout doucement, la vie en elle s’éteignit. La nymphe partit en fumée, sous les yeux d’un garde qui ouvrait les portes de la ville. Toutes les particules d’eau qui la constituaient s’envolèrent vers le ciel limpide, et bientôt il ne resta plus rien de l’être qui se tenait aux portes de la ville. La nymphe était morte.
Le bébé, sous les lueurs naissantes du soleil, s’éveilla .Il sentit la faim mais ne pleura pas. Il se contenta de regarder avec des yeux ronds l’aurore qui zébrait de pastel le ciel, les murailles de la ville qui s’irisaient aux lumières de l’aube.
Le garde en chef, qui ouvrait la porte, remarqua le panier plein de chiffons.
« Qu’est-ce que ça peut bien être… ? »grommela-t-il dans sa barbe d’un roux flamboyant.
Il ramassa le couffin d’ajoncs. Qu’est-ce qu’il pouvait bien y avoir ? Il écarta les amas de tissus, et découvrit avec stupeur le bébé qui le regardait placidement.
Bon. Voilà qui allait lui donner du fil à retordre. Un bébé ! Qu’allait-il en faire ? Il se gratta la tête, gêné, le panier dans l’autre main, juste avant de s’apercevoir qu’il grattait son casque, et non son crâne. Un bébé !
Il prit rapidement une décision, et confia le bébé à l’un des hommes qu’il avait sous ses ordres. Le garde pouvait faire ce qu’il voulait du bébé, lui dit-il.
Le pauvre homme, complètement désappointé, finit par décider de laisser le bébé au temple de la ville. Les prêtresses de Dikéa, déesse de la justice et des forces de la nature, sauraient sûrement quoi en faire.
Il remonta, le couffin dans ses bras, l’allée principale de la ville. Les commerçants installaient déjà leurs étals le long de l’avenue pavée, qui menait en une pente montante vers la mairie, un imposant bâtiment un tantinet pompeux de style antique en pierre claire, posée au bout du grand boulevard, comme pour le finir en apothéose .
La mairie se situait en fait sur une place au bout de la grande rue. Autour d’une fontaine représentant des poissons, de nombreux bâtiments étaient disposés. On y trouvait le temple de Dikéa, la Bibliothèque, diverses échoppes en bois encore fermées, en raison de l’heure. Pantapolis s’éveillait, et bientôt les places, les rues seraient emplies des bruits de la vie de tous le jours.
Le soldat gravit les marches qui menaient à l’entrée de l’imposant temple. Il passa la porte, déjà ouverte par les prêtresses qui se levaient très tôt, et pénétra dans l’enceinte du lieu de culte.
Tout n’y était que lumière et douceur. L’encens embaumait la grande pièce très dépouillée, dont le mobilier se résumait à un autel en marbre finement sculpté, et de larges vitraux colorés baignaient la pièce d’une lueur paisible. Le garde traversa la salle, le panier dans les bras.
Devant l’autel, trois personnes se trouvaient : une prêtresse, vêtue d’une longue robe immaculée, dont la masse de cheveux bruns épais tombaient jusqu’au sol, un homme vêtu d’une cape, et une femme, très belle, aux longs cheveux blonds vaporeux blottie contre l’homme, et qui pleurait silencieusement, une main contre son ventre.
Le garde s’avança vers le petit groupe et se gratta discrètement la gorge. La prêtresse, qui était de dos, se retourna et le salua.
« Bonjour, garde. Que viens-tu faire ici, dans l’enceinte d’un temple ? Tu sais bien que les armes sont interdites ici. Les hommes sont égaux devant les lois de la nature.
-Je sais bien, Ô prêtresse de la grande Dikéa, mais voyez ce que je vous apporte. »
Il posa le panier au sol et s’agenouilla pour dégager la tête de l’enfant, qu’il désigna à la prêtresse. Elle parut très surprise, et demanda au garde :
« Où as-tu trouvé cet enfant ?
-Aux portes de la ville. C’est mon chef qui m’a ordonné de l’emmener et d’en faire ce que je voudrais. Vous voyez, je vous l’amène. C’est gênant ?
-Tu ne pouvais pas tomber mieux…vois ces personnes. »Elle lui présenta le couple près de l’autel.
« Voici le duc d’Esprit, et sa femme. Ils...
-Nous pouvons nous présenter seuls, la coupa avec un tantinet d’agacement l’homme. Ma femme et moi ne pouvons plus avoir d’enfant…
-J’ai été enceinte, continua la femme, la voix encore chargée de larmes, mais je suis tombée de cheval et l’enfant a été perdu. Désormais, je ne pourrai plus jamais porter de bébé, ni donner la vie… Nous venions voir la prêtresse pour lui demander s’il n’y avait plus une lueur d’espoir, mais hélas…
-Et voici que vous vous présentez ici avec un enfant ! Nous permettriez-vous de le recueillir ? nous le traiterions comme notre propre petit. »
Le garde n’hésita pas pour répondre. Un bébé ! Il n’en voulait pas, lui, il avait déjà dix enfants, tous plus braillards les uns que les autres, et un de plus l’embêterait bien. Et puis, il y avait aussi sa femme, qui était malade, la pauvre n’en pouvait plus.
« Faites-en ce que vous voulez. Moi, j’m’en fiche. »
Il se dirigea vers la sortie d’un pas lourd.
« Attendez ! s’écria le duc, Votre nom ! » Le garde se retourna, et revint.
« Geoffrey de la Muraille. Çui qui parle jamais. »
En guise de réponse, le duc lui glissa une pièce d’or dans la main. Et le soldat s’en fut pour ne plus s’en retourner.
Pendant que son mari contemplait, pensif, le garde partir, la duchesse, délicate, s’agenouilla près du panier et entreprit d’emmailloter le bébé à l’aide des chiffons qu’il contenait. L’enfant se mit à gazouiller. Elle finit sa tâche et se releva, le nouveau-né dans ses bras.
« Il a moins d’une semaine, remarqua-t-elle. Quels beaux yeux bleus… » Mais elle poussa un hoquet de surprise. De bleus, les yeux de l’enfant étaient devenus verts, pour passer progressivement au…pourpre ! Le bébé se mit à pleurer.
« Il a faim, Lucie. Il faut le nourrir, l’informa le duc, l’air d’en savoir long sur les nouveaux-nés, ce qui, bien sûr n’avait absolument rien de vrai.
-Maël…Maël…Les yeux du bébé ont changé de couleur !
-Pardon ? »
Il se baissa vers le petit. Pour se relever immédiatement, le souffle coupé.
La prêtresse, qui assistait à ce manège, poussa un soupir exaspéré. Elle n’avait pas que cela à faire. Elle prit son ton le plus agréable, et sit :
« Messire le duc, peut-être voudriez-vous faire baptiser l’enfant, consigner cette adoption dans le registre…
-Oui, oui, dit l’intéressé, encore perturbé par les yeux de l’enfant, absent.
-Bien. Nous allons donc procéder au rituel. »
La prêtresse se dirigea vers l’autel. Elle sortit d’une cavité située derrière le meuble de marbre de l’encens, de l’huile sacrée, un fin couteau d’or au manche de bois délicat orné d’entrelacs d’argent.
Elle pria la duchesse de déposer l’enfant sur l’autel. Précautionneusement, elle le déshabilla, puis lui saisit la cheville. L’enfant cessa de pleurer et regarda, étonné, la prêtresse qui prenait son couteau…et lui entailla le pied. Il hurla. Ou plutôt, elle hurla. Car, après déshabillage, il était plutôt apparent que c’était une fille… mais ce cri n’égala pas la stupeur des adultes dans la temple. Car de l’entaille ne coulait pas du sang. Mais un curieux liquide doré qui ressemblait à…
« De la sève ? « demanda le duc. La prêtresse secoua la tête en signe de dénégation. Non, ce n’était pas de la sève. C’était plus lisse. On aurait dit de l’or liquide. Mais la prêtresse continua son rituel. Elle déposa une goutte du fluide vital indéterminé de l’enfant sur le registre.
« Quel nom désirez-vous lui donner ? »
les deux époux se scrutèrent. D’une voix mal assurée, la femme proposa :
« Enwelenn. Ce mot dignifie paix dans une langue qui n’existe désormais plus que dans les livres… »Le duc acquiesça.
« Paix… Puisse ce nom t’être un fil de vie » murmura la prêtresse, finissant d’écrire dans le registre. Elle déposa une goutte d’huile sur le front du bébé avec son doigt. Puis elle alluma un bâton d’encens qu’elle mit par terre, au milieu de tant d’autres, dans un coin du temple. Elle remit le bébé aux bras de sa mère adoptive. Le rituel était fini. La prêtresse s’inclina devant le duc et la duchesse, puis partit dans un froufrou de tissu, ses cheveux longs flottant derrière elle. Les deux nouveaux parents restèrent un moment sans rien dire. Puis ils partirent.


Le froufrou des jupons d’Enwelenn, doublé de son pas rythmé, retentit sur les dalles du couloir. Elle marchait si vite que ses longs cheveux bruns et lisses volaient derrière elle.
« Maman ! » appela-t-elle. « Maman ? »
Une vieille femme aux cheveux blanc vaporeux parut à la porte au bout du couloir.
« Madame Lucie est partie en courses.
-Encore ! Mais elle n’a pas assez de robes comme ça dans son placard ?
-Mademoiselle Enwe…
-Oh, nounou ! Et puis j’en ai assez, moi ! je…
-Enwelenn ! la coupa la vieille dame. Il y a un bal ce soir, vous n’avez même pas de robe à vous mettre ! Vous n’allez tout de même pas encore arriver avec une de vos robes déchirées ? Votre mère est partie vous en racheter une. La pauvre femme va devenir folle ! Ce n’est pas des manières de jeune fille, de courir dans les bois comme une souillon ! Surtout une fille de ducs…
-Nounou ! Tu m’embêtes. Je ne veux pas devenir une courtisane, moi !
-Voilà encore une de ces idées que vous auront mises en tête votre père et votre mère ! Une femme, ça reste au foyer gentiment, ça brode, ça fait des enfant, mais ça en part pas à la guerre, ça ne… »
Enwelenn s’enfuit en courant. C’était l’énième conversation qu’elle avait à ce sujet avec sa nourrice, jamais la dernière. Il fallait être belle, digne, inaccessible. Il fallait regarder dédaigneusement les passants dans la rue, il fallait porter des robes richement brodées, il ne fallait pas pleurer, ni rire, ni courir dans les bois , ni salir ses jupons, ni manger avec les doigts…Autant de règles qu’Enwelenn transgressait avec satisfaction. Autant de petits bonheurs que lui avaient appris au fil de son enfance ses parents. Elle n’avait jamais manqué de rien : ni d’amour, ni de nourriture, ni de cadeaux. Grâce à ses parents, elle savait ce qu’était le bonheur. Dès sa plus jeune enfance, son père lui parlait comme à une adulte, lui montrait les arbres, les papillons, les ciels, lui décrivait la ville, lui racontait des histoires. Sa mère lui racontait les mythes, les campagnes du sud du Zulma, les arbres-mères dont naissaient les farfadets, êtres de chair et d’os, parcourus non par du sang, mais par de la sève. Malgré tout ce bonheur autour d’elle, elle n’avait parlé que tardivement. Mais dès son premier mot, elle sut parler correctement. Ce premier mot fut son prénom : paix…
A quelques mois, on lui fit cadeau d’une licorne ailée qu’elle nomma plus tard Philyra. L’animal l’accompagnait partout.
Bref, l’enfance d’Enwelenn fut paisible et heureuse.
Mais, à 14 ans, elle dut aller vivre à la ville.
Et ce fut son cauchemar.
Elle qui avait grandi dans la nature, le calme, elle découvrit Omnicitta, son bruit, ses échoppes. Puis elle s’y habitua. Elle aima regarder le soleil se levant sur les toits, la lumière qui colorait les murs, les façades. Elle aima ses odeurs, la cannelle, la muscade, les épices, le pain chaud le matin, l’air frais sur son visage, la rosée sur le bord de sa fenêtre. Elle aima les fillettes vêtues de guenilles dans la rue. Elle aima les jardins du palais impérial le matin quand il n’y avait personne. Elle aima la ville, à sa manière.
Mais elle découvrit aussi la cour. Une cour aux dames futiles, aux princes qui l’étaient tout autant. Enwelenn détesta cette ville-là. Elle lui semblait mesquine et dépourvue du moindre intérêt. Les seuls endroits qu’elle aimait au palais étaient les jardins, les cuisines. Les servantes, quoique scandalisées par sa liberté, appréciaient cette drôle de gamine.
Durant ses pérégrinations quotidiennes dans les faubourgs fangeux, elle se fit une sacrée réputation de fille qui n’avait pas froid aux yeux. Les fillettes crasseuses l’admiraient et, quand elle passait dans leur champ de vision, elles ne pouvaient plus en retirer leurs yeux jusqu’à ce qu’elle soit partie. Sa cour à elle se forma de petits voyous. Tous étaient subjugués par sa force de caractère, ses yeux, son beau visage. Les petites filles aux joues boueuses lui offraient des bouquets de fleurs éphémères, pâquerettes, coquelicots qu’Enwelenn mettait dans sa poche comme des talismans.Enwelenn continua de marcher à grandes enjambées dans les couloirs du palais, fulminante, pour sortir d’un pas rageur de sa maison. Elle parcourut quelques rues de son quartier, riche car proche du palais royal, arriva au caravansérail. Là, dans une des boutiques, devait se trouver sa mère, pensait-elle.

lundi 7 mai 2007

Une chouette chanson...et une chouette vidéo

L'hymne de nos campagnes

Tryo

Images du dessin animé Tonari no Totoro de Hayao miyazaki


Si tu es né dans une cité HLM
Je te dédicace ce poème
En espérant qu'au fond de tes yeux ternes
Tu puisses y voir un petit brin d'herbe
Eh les mans faut faire la part des choses
Il est grand temps de faire une pause
De troquer cette vie morose
Contre le parfum d'une rose

{Refrain:}
C'est l'hymne de nos campagnes
De nos rivières, de nos montagnes
De la vie man, du monde animal
Crie-le bien fort, use tes cordes vocales!

Pas de boulot, pas de diplômes
Partout la même odeur de zone
Plus rien n'agite tes neurones
Pas même le shit que tu mets dans tes cônes
Va voir ailleur, rien ne te retient
Va vite faire quelque chose de tes mains
Ne te retourne pas ici tu n'as rien
Et sois le premier à chanter ce refrain

{au Refrain}

Assieds-toi près d'une rivière
Ecoute le coulis de l'eau sur la terre
Dis-toi qu'au bout, hé ! il y a la mer
Et que ça, ça n'a rien d'éphémère
Tu comprendras alors que tu n'es rien
Comme celui avant toi, comme celui qui vient
Que le liquide qui coule dans tes mains
Te servira à vivre jusqu'à demain matin!

{au Refrain}
Assieds-toi près d'un vieux chêne
Et compare le à la race humaine
L'oxygène et l'ombre qu'il t'amène
Mérite-t-il les coups de hache qui le saignent ?
Lève la tête, regarde ses feuilles
Tu verras peut-être un écureuil
Qui te regarde de tout son orgueuil
Sa maison est là, tu es sur le seuil...

{au Refrain}
Peut-être que je parle pour ne rien dire
Que quand tu m'écoutes tu as envie de rire
Mais si le béton est ton avenir
Dis-toi que c'est la forêt qui fait que tu respires
J'aimerais pour tous les animaux
Que tu captes le message de mes mots
Car un lopin de terre, une tige de roseau
Servira la croissance de tes marmots !

{au Refrain}

dimanche 6 mai 2007

The Marvellous Daughter & Daughter's Show

Hey hey!
Je crois bien que Mélina m'a déjà présentée mais je vais me présenter à nouveau car je n'aime rien plus que parler de moi-même. J'ai des antécédents sur la Toile, deux, le premier était mégafoireux (emboîtage d'adjectifs powaaa!), le deuxième encore plus foireux, le troisième que vous voyez dans la liste de liens a l'air bien parti.
Alors...
Nom de scène: Daughter & Daughter Corp. (ou Inc., selon l'humeur) et Droôôm
Age: 12 ans
Poids: c'est un secret!
Taille: 1 m 70 tout pile (même que Céji ma dépasse de deux centimètres en comptant ses cheveux, pour ceux qui connaissent The Dreamaker version un, je dépasse Mélina!).
J'arrête la liste de mes mensurations...Après tout, vous n'êtes pas là pour ça.
En tout cas (mégabaratin power), je suis très honorée de l'honneur honorable que Mélina me fait et je ferai tout mon posssible pour poster régulièrement des choses intéressantes (quoi que, je garanti pas qu'elles vous paraissent intellligente mais j'ai pas l'habitude des blogs intéressants comme celui de Mey, ceux qui connaissent The Dreamaker Ouane le savent).
Bon, ben voilà, il faudra vous habituer à ma présence. Ca va être dur mais c'est comme ça. Les intellectuels du dimanche, sautez mes articles!
Baille Baille (fatiguée, moi) gousse d'ail!

jeudi 3 mai 2007

Pubs

D'une pierre trois coups, tant que j'ai pas la flemme de faire des messages sur mon bloblog, je fais de la pub pour des blogs qui valent le coup... Méli l'ayant arrêté, elle ne figure pas dans le palmarès :'(

, c'est le blog de Marie, la personne la plus pro en matière de photoshop que je connaisse. Enfin, connnaître, c'est un bien grand mot... En tout cas, ne serait-ce que sur les forums, elle est sympa et surtout...Ses dessins sont sublimes! Allez-y de toute urgence.

Ici, c'est le blog d'une autre Marie, plus connue sous les pseudos d'Héter Delhrod ou louve Sombrelune, qui dessine elle aussi très, très bien... Je vous invite aussi à découvrir son forum RPG qui vaut vraiment le coup, Hyeros.

Et puis...c'est un peu tout, à pluche tout le monde!!

Dédi à Méli!



Voilà tout pour toi ma Méli, Jack et Vic'...toria. Comme tu me l'as demandé. Bon, O.K, l'est pas fini, mais c'est déjà pas mal... Quand tout sera fini tu re-l'auras!

Cécile Corbel ~ Suil a run



Coucou tout le monde!


Encore un dessin, cette fois spéciale dédi' ...




...à Jeaaaanne! La zentille, ma fournisseuse en qwan et en bonne humeur le mercredi ;)
C'est pas souvent que j'en fais, des dédicaces, mais là... ben chaipas. Le prochain sera pour Amé...(pluie en japopo!)lie alias LA, ZE Sioupeur Mimile!!!ze sapeur mimile ahaha...oui je sais ça vole bien bas mais...euh...



dimanche 29 avril 2007

Hop hop hop








Lalala, c'est le svacances, il fait beau, je reviens de chypre et même pas vous, je suis débile et ça me plaît. je suis de super bonne humeur, attention. J'ai scanné des tonnes de dessins au lieu de ranger ma chambre, et je vais vous en balancer, ça fait un bail. Et tout ça grâce à mon copain servimg. je l'aime, celui-là. Pas autant que Neji ou Ashitaka, mais bon. Aaaaaaah! Je suis heureuse. Et je me suis même crée une playlist! Sisis, je vous jure.




dimanche 8 avril 2007

Rozen Maiden


Coucou! c'est encore moi! Le précédent message est un peu...space, aprce qu'il est noté du 17 mars... En fait je l'ai posté aujourd'hui.

Un petit article pour vous parler d'une série manga anime que j'adore : Rozen Maiden, de Peach-Pit. Grâce à elle je connais plein de mots en japopo (bon, même si pour les kanji c'est pas encore ça, hein^^)


Un tit résumé:


Jun et Nori Sakurada, frère et soeur, sont deux adolescents un peu délaissés par leurs parents..; et pour sûr, puisqu'ils vivent à l'étranger! Jun ne va plus à l'école, et passe ses journée à commander de la camelote par internet: des objets pseudo-magiques, etc... un jour, il reçoit une drôle de poupée, sacrémt réaliste... Il la remonte à l'aide d'une clé dans son coffret, et elle prend vie... réellement!
Jun va découvrir, à son plus grand désespoir et au plus grand bonheur des visionneurs, la vie avec cette poupée "Rozen maiden" et avec les autres...

Parfois très noire, mais parfois méga-trippante (ouéch ziva tavu comment que jparle moua) cette série est très divertissante, autant pour les amateurs d'actions que pour les kawaii-addicts. elle alterne épisodes complètement déjantés et combats entre les rozen maiden...

Bref, que du bonheur!
Une petite vidéo qui m'a fait mourir de rire, pour ceux qui conaissent (parce que sinon c'est difficile de compréhension-desu (comprenne qui comprendra):



samedi 17 mars 2007

la plus belle musique du monde...

Après les Fileuses de Nuit, Emily Loizeau, voici ma chanteuse préférée: Loreena mcKennitt.

une voix d'or, des textes poétiques, une musique à faire dresser le moindre poil de quelqu'un même sans poils sur la peau, authentique... non, je ne suis pas obsédée. Juste admirative. Même que le moment où elle a la plus belle voix c'est quand elle dit "The work of Our Lord's hand" dans The mummer's dance. J'ai tous ses disque, de Elemental à An ancient muse. Bouhou, je n'ai aps pu aller la voir en concert le 5 avril...
Bon, j'embête tout le monde avec elle, mais c'est parce que je l'aime... c'est ma chanteuse préférée. Et la première personne qui dit que c'est nul... je la décapite avec une machette et du RnB. Nah!!

Brève biographie:

Loreena McKennitt est née le 17 février 1957 au Canada, près de Winnipeg. elle apprend le piano, le chant et la hapre et sort son premier album Elemental en 1985. Dans ce disque, elle chante seule et s'accompagne de sa harpe, ocasionnellement de son accordéon.
Ses albums sortis:
1985 : elemental
1987 : To drive the cold Winter Away
1989: Parallels dreams
1991 : The visit
1994 : The Mask and Mirror
1995 : A winter Garden: Five Songs for Seasons
1997 : The Book of Secrets
1999: Live in Paris and Toronto
2006: An Ancient muse
Les récompenses qu'elle a obtenues (et méritées, bien entendu)
:
1992: Prix Juno du meilleur album de musique traditionnelle pour The Visit
1994:Prix Juno du meilleur album de musique traditionnelle pour The Mask and Mirror
Et pour finir, une superbe vidéo: le génie de Miyazaki associé à la voix sublime de Loreena mcKennitt avec la plsu belle chanson du monde The mummer's dance (nononon, je n'ai pas pété un câble, je suis juste une grande, très, très grande aflicionada)

vendredi 9 mars 2007






Une musique? Au bout du fil...la note~Fileuses de nuit (cliquez sur le lien) Léger, frais, doux, pur, cristallin commre l'eau d'un ruisseau sur la côte de la Manche...

En fait, ça fait méga-longtemps que j'ai pas posté ...À peu près deux semaines... Comme dirait Marianne, ça craaaaaaaaaiiiint, queeeellle galèèèreuh! (Moi, me moquer d'elle? Jamaaaaaiiis ! XD)
Re-en fait, il ya plein de choses qui ont bousculé ma petite existence... Je suis partie en ouiquende du côté de Ouissant, j'y ai aquarellé (je mettrai ici d'aquarelle que j'y ai réalisée du cap Blanc-Nez...). C'était géniaaaal!! Bref, le pied. Et comble de bonheur, Alice m'a écrit! oui, Amélie, notre Alice de l'école..;j'y pense ça fait vraiment longtemps que je ne l'ai aps vue.. Presque un an
Quelques photos du w-E sur la côte: Toutes prises par ma mère parce que je suis incapable de prendre une photo pas floue xD (il est PERMIS de douter de mes talents de photographe)









El Zazou et moi









Moi, qui dessine







Le Cap Blanc-Nez

samedi 24 février 2007

L'AHFMHD, grande association d'esprits brillants s'il en est...

Je vous présente l'Association des Harpistes Folles mégalo Hystériques Délirantes, fruit MSNesque de la collaboration entre deux grands génies de la harpe : Paulinou-chan, tout juste 15 ans, et Mélinou-chan (*se rehausse en se hissant sur la pointe des pieds*) tout presque 14 ans.





Comme vous avez pu le remarquer dans le document sous-contre, nous sommes folles ET harpistes.

Ô fous comme nous, adhérez!Vous n'êtes pas obligés d'être harpistes, mais il faut OBLIGATOIREMENT être fou et payer la cotisation (seulement 15 00 € Hors Taxes) alors n'hésitez plus!


Cette association permet de soutenir les ramollies du cerveau que nous sommes, afin de nous permettre une meilleure qualité de vie . En effet, notre dépendance à la harpe est si forte que nous avons besoin de nous en entourer.


Ci-dessous, les fiches des créatrices, aimablement mises en chinois par Paulinou-chan (au cas où des étrangers...)
















lundi 12 février 2007

La BéDé!!







Voici une Bd que j'ai réalisée...plus ou moins illicitement en cours d'espagnol et anglais.



Trois planches! Il faut que je la continue.
































































lundi 29 janvier 2007

Totoro, totoro...

http://www.youtube.com/watch?v=AW76yEzbDbg

Ben quoi?

Une vidéo bien sympa: la chanson originale du générique de Mon Voisin Totoro ...

Totoro, totoro, totoro, roroto, toroto...

jeudi 25 janvier 2007

Images...

Qu'est-ce que je vois quand je ferme les yeux?

Une petite fille qui pleure, recroquevillée sous une table.
Un nuage dans un ciel limpide.
Deux yeux violets qui me regardent.
Un feu qui brûle dans une cheminée.
Une plume dans une main.
Une main qui se tend.
Un chausson de danse.
Une harpe.
Une rose blanche séchée.
Un livre aux pages cornées dans la main d'un enfant qui dort.
Une masse de cheveux roux qui tournoient.
Ce regard implorant.
Un rêve.
Ce rêve.
Ces rêves qui peuplent mes nuits et les vôtres.
J'entends cette remarque piquante qu'on m'a lancée.
J'entends une ballade irlandaise.
J'entends le champ des oiseaux et je vois une longue plaine verte.

je rêve...

samedi 20 janvier 2007

omnicitta, le début!

Voici le début d'un roman que j'ai commencé...seulement! c'est là où j'en suis arrivée...
Sinon, demain, concours de harpe!



C’était la fin de la nuit. Bientôt, le jour ne tarderait pas à poindre et inonderait les remparts d’Omnicitta de sa lumière chaude, qui irriguerait les canaux solaires de la ville. Les boulangers ouvriraient leurs baraques et l’odeur des brioches et des pains frais et chauds emplirait l’air encore chargé de la rosée du matin. Le ciel étirerait de larges bandes roses, jaunes, blanches, crayons pastels qui colorieraient le ciel, puis s’effaceraient pour laisser le ciel limpide du printemps qui s’annonçait, peu à peu, au fil du temps. Puis la ville s’éveillerait sous les exhortations des commerçants commençant leur journée, des charretiers sur leur charrette brinquebalant sur les pavés, qui jureraient tout autant que dans leur réputation, et au cris des bébés qui pleureraient.
Mais cette ville-là dormait. Les lourdes portes en chêne et fer massif, encore fermées, empêchaient pour l’instant tout voyageur de pénétrer dans la capitale du Zulma. Et les remparts de pierre ocre étaient si hauts qu’on ne pouvait pénétrer dans la ville que par les airs.
Au pied de l’immense muraille et des pesantes portes de la ville, une nymphe d’eau, assise à côté d’un berceau, perdait toute l’eau qui lui tenait lieu de sang. Très faible, elle caressait un visage de nourrisson qui pointait au milieu d’un amas de tissu dans le panier. La silhouette de l’entité aqueuse était éclairée d’une lumière qui n’était pas celle de la lune évanescente, mais qui semblait venir du cœur de la créature elle-même, comme si la vie qui la quittait peu à peu rayonnait.
Un rayon pointa derrière la chaîne de montagnes qui s’offrait à la vue, face à Omnicitta. Tel un pinceau d’or, il s’insinua un peu partout, peignit une touche claire sur la muraille, fit tinter un reflet sur la porte de fer, pour être suivi par des milliers de rayons dorés qui semblaient la chevelure de l’astre solaire. En cet instant, calme, si pur et lumineux, tout semblait en harmonie légère. Le rayon fluctua dans les veines de la nymphe. Un frisson la parcourut, puis elle soupira de soulagement. Tout son être vibra de la lumière renaissante, puis, tout doucement, la vie en elle s’éteignit. La nymphe partit en fumée, sous les yeux d’un garde qui ouvrait les portes de la ville. Toutes les particules d’eau qui la constituaient s’envolèrent vers le ciel, et bientôt il ne resta plus rien de l’être qui se tenait aux portes de la ville. La nymphe était morte.
Le bébé, sous les lueurs naissantes du soleil, s’éveilla .Il sentit la faim mais ne pleura pas. Il se contenta de regarder avec des yeux ronds l’aurore qui zébrait de pastel le ciel, les murailles de la ville qui s’irisaient aux lumières de l’aube.
Le garde qui ouvrait la porte remarqua le panier plein de chiffons.
« Qu’est-ce que ça peut bien être… ? »grommela-t-il dans sa barbe d’un rouc flamboyant.
Il ramassa le couffin d’ajoncs. Qu’est-ce qu’il pouvait bien y avoir ? Il écarta les amas de tissus, et découvrit avec stupeur le bébé qui le regardait placidement.
Bon. Voilà qui allait lui donner du fil à retordre. Un bébé ! Qu’allait-il en faire ? Il se gralla la tête, gêné, le panier dans l’autre main, juste avant de s’apercevoir qu’il grattait son casque, et non son crâne. Un bébé !
Il prit rapidement une décision, et confia le bébé à l’un des hommes qu’il avait sous ses ordres. Le garde pouvait faire ce qu’il voulait du bébé, lui dit-il.
Le pauvre homme, complètement désappointé, finit par décider de laisser le bébé au temple. Les prêtresses de Temariah, déesse de la justice et des forces de la nature, sauraient sûrement quoi en faire.
Il remonta, le couffin dans ses bras, l’allée principale de la ville. Les commerçants installaient déjà leurs étals le long de l’avenue pavée, qui menait en une pente montante vers la mairie, un imposant bâtiment de style antique en pierre claire.
La mairie se situait en fait sur une place au bout de la grande rue. Autour d’une fontaine représentant des poissons, de nombreux bâtiments étaient disposés. On y trouvait le temple de Temariah, la Bibliothèque, diverses échoppes en bois encore fermées, en raison de l’heure. Omnicitta s’éveillait, et bientôt les places, les rues seraient emplies des bruits de la vie de tous le jours.
Le soldat gravit les marches qui menaient à l’entrée de l’imposant temple. Il passa la porte, déjà ouverte par les prêtresses qui se levaient très tôt, et pénétra dans l’enceinte du lieu de culte.Tout n’y était que lumière et douceur. L’encens embaumait la grande pièce très dépouillée, dont le mobilier se résumait à un autel en marbre finement sculpté, et de larges vitraux colorés baignaient la pièce d’une lueur paisible.

dimanche 7 janvier 2007

Encore un!

Oui, encore un dessin, cette fois, je précise à tous ceux/ toutes celles de mon forum qui passent par ici que c'est mon personnage sur le rpg... admirez les collants XD
J'en profite pour préciser que j'ai dû m'y reprendre à 4 fois pour l'héberger sur imageshack! nan mais oh là... ça va plus m'sieur imageshack! Et pareil pour mes fanarts de Tara Duncan ! Rien ne va plus, là.

Des dessins? En voilà encore!

Oui, je ne peux pas m'en empêcher...
(petite précision utile: c'est censé être un garçon)

vendredi 5 janvier 2007

D'es dessins? En veux-tu? En voilà! Cadeau!










Deux fanarts de Tara Duncan avec un Robin quelque peu...Squelettique.

Réalisés avec ma superaquarelle-que-j'ai-eue pour Noël, argh, que j'aime peindre à l'aquarelle!
Alors?

Coup de gueule...

Oui, un coup de gueule, parce que j'en ai marre.
Ya pas qu'Amélie qui a le droit d'en avoir marre.
Parce que:
-il est bien gentil, monsieur Vivaldi, mais il ne pourrait pas faire des morceaux lents avec moins de doubles croches?
-je ne suis pas sûre de réussir...DU TOUTce fichu concours de chgrompf,
-la rentrée arrive à grands pas comme Aragorn, oui je sais c'était pas drôle, mais bon, qu'est-ce que vous voulez, je ne peux pas être en rogne contre le monde entier ET sortir une blague un peu plus potable que d'habitude, moi!
-j'en ai assez d'être égoïste
-Mélusine Vaglio n'a pas sorti aimablement tous les tomes de Kitty Lord
-j'arrive pas à dormir
-parce que.

Faut bien se déverser quelque part.