lundi 29 janvier 2007

Totoro, totoro...

http://www.youtube.com/watch?v=AW76yEzbDbg

Ben quoi?

Une vidéo bien sympa: la chanson originale du générique de Mon Voisin Totoro ...

Totoro, totoro, totoro, roroto, toroto...

jeudi 25 janvier 2007

Images...

Qu'est-ce que je vois quand je ferme les yeux?

Une petite fille qui pleure, recroquevillée sous une table.
Un nuage dans un ciel limpide.
Deux yeux violets qui me regardent.
Un feu qui brûle dans une cheminée.
Une plume dans une main.
Une main qui se tend.
Un chausson de danse.
Une harpe.
Une rose blanche séchée.
Un livre aux pages cornées dans la main d'un enfant qui dort.
Une masse de cheveux roux qui tournoient.
Ce regard implorant.
Un rêve.
Ce rêve.
Ces rêves qui peuplent mes nuits et les vôtres.
J'entends cette remarque piquante qu'on m'a lancée.
J'entends une ballade irlandaise.
J'entends le champ des oiseaux et je vois une longue plaine verte.

je rêve...

samedi 20 janvier 2007

omnicitta, le début!

Voici le début d'un roman que j'ai commencé...seulement! c'est là où j'en suis arrivée...
Sinon, demain, concours de harpe!



C’était la fin de la nuit. Bientôt, le jour ne tarderait pas à poindre et inonderait les remparts d’Omnicitta de sa lumière chaude, qui irriguerait les canaux solaires de la ville. Les boulangers ouvriraient leurs baraques et l’odeur des brioches et des pains frais et chauds emplirait l’air encore chargé de la rosée du matin. Le ciel étirerait de larges bandes roses, jaunes, blanches, crayons pastels qui colorieraient le ciel, puis s’effaceraient pour laisser le ciel limpide du printemps qui s’annonçait, peu à peu, au fil du temps. Puis la ville s’éveillerait sous les exhortations des commerçants commençant leur journée, des charretiers sur leur charrette brinquebalant sur les pavés, qui jureraient tout autant que dans leur réputation, et au cris des bébés qui pleureraient.
Mais cette ville-là dormait. Les lourdes portes en chêne et fer massif, encore fermées, empêchaient pour l’instant tout voyageur de pénétrer dans la capitale du Zulma. Et les remparts de pierre ocre étaient si hauts qu’on ne pouvait pénétrer dans la ville que par les airs.
Au pied de l’immense muraille et des pesantes portes de la ville, une nymphe d’eau, assise à côté d’un berceau, perdait toute l’eau qui lui tenait lieu de sang. Très faible, elle caressait un visage de nourrisson qui pointait au milieu d’un amas de tissu dans le panier. La silhouette de l’entité aqueuse était éclairée d’une lumière qui n’était pas celle de la lune évanescente, mais qui semblait venir du cœur de la créature elle-même, comme si la vie qui la quittait peu à peu rayonnait.
Un rayon pointa derrière la chaîne de montagnes qui s’offrait à la vue, face à Omnicitta. Tel un pinceau d’or, il s’insinua un peu partout, peignit une touche claire sur la muraille, fit tinter un reflet sur la porte de fer, pour être suivi par des milliers de rayons dorés qui semblaient la chevelure de l’astre solaire. En cet instant, calme, si pur et lumineux, tout semblait en harmonie légère. Le rayon fluctua dans les veines de la nymphe. Un frisson la parcourut, puis elle soupira de soulagement. Tout son être vibra de la lumière renaissante, puis, tout doucement, la vie en elle s’éteignit. La nymphe partit en fumée, sous les yeux d’un garde qui ouvrait les portes de la ville. Toutes les particules d’eau qui la constituaient s’envolèrent vers le ciel, et bientôt il ne resta plus rien de l’être qui se tenait aux portes de la ville. La nymphe était morte.
Le bébé, sous les lueurs naissantes du soleil, s’éveilla .Il sentit la faim mais ne pleura pas. Il se contenta de regarder avec des yeux ronds l’aurore qui zébrait de pastel le ciel, les murailles de la ville qui s’irisaient aux lumières de l’aube.
Le garde qui ouvrait la porte remarqua le panier plein de chiffons.
« Qu’est-ce que ça peut bien être… ? »grommela-t-il dans sa barbe d’un rouc flamboyant.
Il ramassa le couffin d’ajoncs. Qu’est-ce qu’il pouvait bien y avoir ? Il écarta les amas de tissus, et découvrit avec stupeur le bébé qui le regardait placidement.
Bon. Voilà qui allait lui donner du fil à retordre. Un bébé ! Qu’allait-il en faire ? Il se gralla la tête, gêné, le panier dans l’autre main, juste avant de s’apercevoir qu’il grattait son casque, et non son crâne. Un bébé !
Il prit rapidement une décision, et confia le bébé à l’un des hommes qu’il avait sous ses ordres. Le garde pouvait faire ce qu’il voulait du bébé, lui dit-il.
Le pauvre homme, complètement désappointé, finit par décider de laisser le bébé au temple. Les prêtresses de Temariah, déesse de la justice et des forces de la nature, sauraient sûrement quoi en faire.
Il remonta, le couffin dans ses bras, l’allée principale de la ville. Les commerçants installaient déjà leurs étals le long de l’avenue pavée, qui menait en une pente montante vers la mairie, un imposant bâtiment de style antique en pierre claire.
La mairie se situait en fait sur une place au bout de la grande rue. Autour d’une fontaine représentant des poissons, de nombreux bâtiments étaient disposés. On y trouvait le temple de Temariah, la Bibliothèque, diverses échoppes en bois encore fermées, en raison de l’heure. Omnicitta s’éveillait, et bientôt les places, les rues seraient emplies des bruits de la vie de tous le jours.
Le soldat gravit les marches qui menaient à l’entrée de l’imposant temple. Il passa la porte, déjà ouverte par les prêtresses qui se levaient très tôt, et pénétra dans l’enceinte du lieu de culte.Tout n’y était que lumière et douceur. L’encens embaumait la grande pièce très dépouillée, dont le mobilier se résumait à un autel en marbre finement sculpté, et de larges vitraux colorés baignaient la pièce d’une lueur paisible.

dimanche 7 janvier 2007

Encore un!

Oui, encore un dessin, cette fois, je précise à tous ceux/ toutes celles de mon forum qui passent par ici que c'est mon personnage sur le rpg... admirez les collants XD
J'en profite pour préciser que j'ai dû m'y reprendre à 4 fois pour l'héberger sur imageshack! nan mais oh là... ça va plus m'sieur imageshack! Et pareil pour mes fanarts de Tara Duncan ! Rien ne va plus, là.

Des dessins? En voilà encore!

Oui, je ne peux pas m'en empêcher...
(petite précision utile: c'est censé être un garçon)

vendredi 5 janvier 2007

D'es dessins? En veux-tu? En voilà! Cadeau!










Deux fanarts de Tara Duncan avec un Robin quelque peu...Squelettique.

Réalisés avec ma superaquarelle-que-j'ai-eue pour Noël, argh, que j'aime peindre à l'aquarelle!
Alors?

Coup de gueule...

Oui, un coup de gueule, parce que j'en ai marre.
Ya pas qu'Amélie qui a le droit d'en avoir marre.
Parce que:
-il est bien gentil, monsieur Vivaldi, mais il ne pourrait pas faire des morceaux lents avec moins de doubles croches?
-je ne suis pas sûre de réussir...DU TOUTce fichu concours de chgrompf,
-la rentrée arrive à grands pas comme Aragorn, oui je sais c'était pas drôle, mais bon, qu'est-ce que vous voulez, je ne peux pas être en rogne contre le monde entier ET sortir une blague un peu plus potable que d'habitude, moi!
-j'en ai assez d'être égoïste
-Mélusine Vaglio n'a pas sorti aimablement tous les tomes de Kitty Lord
-j'arrive pas à dormir
-parce que.

Faut bien se déverser quelque part.